Ça pourrait s’appeler « Comment les médecins ont peur du doute » ou « Pourquoi je mindfuck la binarité sans l’avoir voulu ». Peut-être même « Ce que j’ai trouvé sur le chemin de l’errance médicale ». En tout cas ça commence par la chute progressive de mes cheveux puis de tous mes poils et le changement du regard des gens. Pour l’instant, c’est un monologue intitulé L’art d’être malade. Et avec l’aide de Garage 29, ça deviendra mouvement.
Quelle est la trajectoire d’un corps qui ne se tolère plus lui-même ? Comment traverser les peurs que je vois dans le regard de l’autre ? Et à quoi ça ressemblerait de combattre l’injonction à la résilience qui accompagne la maladie ?