Présentée comme une recherche chorégraphique et performative, Hardcore aspire à s’inscrire dans une utopie corporelle post-émancipation où le corps devient une déclaration d’indépendance et d’autonomie.
Hardcore argumente autour de cette intersection entre corps émancipés, affirmés et positionnés en annihilant les structures sociétales, culturelles et générationnelles oppressives.
Les concepts de résistance et de restriction sont explorés à travers des systèmes d’opposition, révoquant la contrainte et mettant en exergue la liberté—une liberté qui sculpte nos sociétés, nos individualités et spécificités.
Célébrant la diversité des expressions sexuelles et des identités de genre, sous une approche provocatrice, subversive et iconoclaste, Hardcore se propose comme une réponse radicale et créative aux restrictions de la société dominante, celle d’une célébration surréaliste de la culture queer contemporaine.
Au coeur d’une BRAT era dans laquelle nous sommes acteur·ices et observateur·ices, I couldn’t help but wonder, n’avons-nous donc pas d’autres choix que de danser sur les ruines de nos anciennes contraintes ?
NOTES : rédemption. apocalypse. renaissance, hyper-saturation, dystopie, combinaison entre culture pop et culture queer contemporaine.